Je prononce ton nom
au cœur des nuits obscures,
lorsque viennent les astres
boire à l'eau de la lune
et que dorment les feuilles
des secrètes ramures.
L' instantané reste provisoire comme le présent de la vie, les émotions. les sensations avec des spontanéité et sensibilité fragile, fugace et vivace. Je cherche entre les mots le passage vers l’ultime... silence. Laissez votre coeur trouver son chemin.
in den Gedanken
und jenseits der Fenster ist es herbstmilchig.
Ich weiß nicht wieviele Träume
ich noch übrig habe zu, träumen
bevor der Regen sie herauswäscht.
beginne ich die fallenden Blätter zu zählen.
Zu den einige Bäume sind blätterleer.
An der Schwelle der Nacht ruhe ich mich aus.
Ich fühle die Leere der Bäume in mir,
der beängstigte Duft des vergehenden Lebens.
Zwischen den großen Bäumen
sehe ich verwaistes Grün,
lebendige kleine Bäumchen.
Noch habe ich Hoffnung
Und die Stille in mir singt eine Herbstmelodie.
Kleeblätter
vergessen im Schatten hinter dem Haus.
Ein kleiner Spaziergang
zwischen den raschelnden Blätter,
bevor der Regen sie auflöst.
©Émilia
getrennt vom Ast.
Der Ast vom Sturm abgetrennt
vom Baum.
Wohin gehe ich?
Der Zéphyr oder Aquilon
treiben mich
mit ihrem un beständigen Atem
durch Berg und Tal,
über Feld und durch den Wald.
Ich lasse mich tragen
wohin er mich führt
überall hin
Aber wohin gehen das Rosenblatt
und das Lorbeerblatt?
Ich liebe dich, weil du die einzige Person bist, mit der ich über einen Schatten einer Wolke, über ein Lied und eine bedeutungslose Idee sprechen kann, weil du derjenige bist, mit dem ich alles teilen kann, was wichtig ist und was nicht wichtig ist.
Baiser de rencontre, baiser d’adieu… un baiser est toujours le premier pas d’une danse qui reste à inventer. Un Paso doble ou un tango.
Corps à demi-dénudés, premier jet de la fusion à venir…
Après l’amour, la délivrance qui s’impose et le retour à l’unité, à l’individualité.
Comme à la fin de la mélopée, les corps s’embrassent puis se délacent, se détachent.
Le retour à l’un.
Danser toujours…
Merci de vous arrêter un moment ici.
Je n'ai aucune prétention à vous intéresser, mais si vous aimez , ou n'aimez pas, ce que je fais ou ce que je dis, dites le moi, sans polémique mais sans complaisance.
« On s'enferme sagement(...). Chacun dans son coeur plié en quatre. Demain, on le dépliera. On verra ce qui était caché dedans. Peut-ê...