Parfois les mots se mêlent aux cris des oiseaux, lorsque leurs plumes fendent la mémoire, sur le tombeau des cendres. Parfois le coeur se trouve à l'étroit, serré sur les lèvres de l'éternité, dans un nuage de carbone carbonisé. Parfois les pensées sont trempées, emportées par les larmes salées, dans le courant de la peau délavée. Parfois je vais te chercher dans l'antre de la nuit, lorsque le cri écrit, un cri fracassé. Parfois… Oui… Parfois…”