avec la voracité d'une main qui ne se pose pas.
Je te touche d'un sourire,
qui s'efface sous la poigne d'un cri silencieux.
Les gestes suspendus
sont autant de blessures tendres,
de déchirements attendus.
Je me défends, contre cet amour
que j'ai pour toi,
Je te sens encore danser dans mon coeur.
©Émilia
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